Château de Mouhy

Meublés et Gîtes 3 étoiles 3 épis
PRISSE

Élégant château de caractère du XVIème siècle pétri d'histoire & soigneusement restauré niché au sein d'un paisible petit hameau résidentiel, au cœur même du vignoble du célèbre « Val Lamartinien », en lisière de prairies (accueillant parfois des chevaux en saison).

Capacité

  • 2 personnes
  • 1 chambres

Services

  • WIFI

Conforts

  • Accès Internet
  • Congélateur
  • Lave linge
  • Lave vaisselle
  • Sèche linge

Horaires

Pâques/Toussaint.

Tarifs

  • Caution à 200€
  • Location 3 nuits de 285€ à 290€
  • Location 4 nuits de 310€ à 340€
  • Semaine Basse Saison (Du 06/01/2024 au 05/04/2024 - Du 28/09/2024 au 18/10/2024 - Du 02/11/2024 au 20/12/2024) à 380€
  • Semaine Moyenne Saison (Du 06/01/2024 au 05/04/2024 - Du 28/09/2024 au 18/10/2024 - Du 02/11/2024 au 20/12/2024) à 420€
  • Semaine Haute Saison à 505€

Modes de paiement

  • Carte bleue
  • Chèques Vacances

Labels

  • Gîtes de France

Langues parlées

  • Français
  • Allemand

Portrait du Grand Site

©grand site de solutré

D’où venez-vous ? Je suis originaire de Mâcon. Pourquoi ce métier ? Quel est votre parcours ? Avant d’être professeur de lettres à Mâcon j’ai été professeur d’éducation physique pendant des années au lycée de Davayé. Ce qui fait que je suis l’homme au monde qui est monté le plus souvent sur la Roche de Solutré (rires). J’y allais souvent quand on faisait du cross avec les jeunes gens. Je suis monté au moins 2000 fois. Je connais bien les moindres détails. Depuis 3 ans on a décidé de faire un gîte à cet endroit. On avait en effet une chambre d’hôte dont je n’ai pas pu me servir comme il faut, mon épouse étant décédée. Il y a des tas de choses qu’un homme seul ne peut pas faire. Pourquoi ici ? J’ai épousé une prisséenne, c’est pourquoi je suis au château de Mouhy à Prissé. Je suis au château de Mouhy depuis une quarantaine d’années. Votre endroit préféré sur le Grand Site ? De temps en temps j’emmène les gens se promener sur cette fameuse route du col de Vergisson puis par l’ancie

René Jantzen